Ping Sans Frontières : L’éducation au bout de la raquette !

Lors de sa participation aux Jeux de la Francophonie au Niger en 2005, la pongiste internationale française d’origine camerounaise Sarah Hanffou constate les conditions précaires dans lesquelles le tennis de table est pratiqué malgré le réel engouement suscité auprès des jeunes. Convaincue de son rôle éducatif et socialisant, Sarah souhaite contribuer au développement de son sport en Afrique et décide ainsi de créer l’association de solidarité internationale Ping Sans Frontières.
Un sport universel accessible à tous
Le tennis de table est par définition le sport universel, sa fédération internationale étant celle qui compte le plus grand nombre de pays affiliés : 220 ! De plus, le « ping » est accessible à chacun, son matériel pouvant être produit à partir de ressources locales (tables, filets).
Ping Sans Frontières œuvre au développement du tennis de table comme vecteur d’éducation de la jeunesse défavorisée et d’insertion sociale des publics marginalisés, et ce dans une logique de développement économique local.
Partenaires locaux
La méthodologie d’intervention de Ping Sans Frontières est donc basée sur l’accompagnement des acteurs locaux dans leur propre développement et structuration :
- Distribution encadrée de matériel pongiste collecté en France
- Formation d’entraîneurs, de dirigeants et d’artisans
- Promotion de la pratique féminine et handisport
Soutien international
Pour mener à bien ses missions, Ping sans Frontières s’appuie sur une chaine de solidarité internationale en mobilisant les pongistes occidentaux autour de collectes de matériel et de fonds au profit de ces communautés défavorisées.
A ce jour, Ping sans Frontières intervient au Cameroun, en République Démocratique du Congo, au Rwanda et au Togo.
Activité